Clarisse Debout baigne dans la culture depuis son tout jeune âge. Après plusieurs années passées dans la production de spectacle, la photographie s’impose à Clarisse comme une évidence à partir des années 2000. Elle collabore alors pour MUM Magazine et BALTHAZAR avant de se lancer dans une première exposition en janvier 2013 à la Galerie Hors Champs à Paris.
S’ensuit une seconde exposition à Montfort l’Amaury pour Art2fact en juin 2014, puis une troisième à la Galerie MADART espace Cardin en novembre 2014. En décembre2014, le travail de Clarisse est intégré à la curation du colloque organisé par la Sorbonne et l’Institut National de l’Histoire de l’Art. Aujourd’hui, Clarisse a choisi de se concentrer sur la photo mobile et capte, à travers son smartphone, des instants uniques et totalement spontanés qu’elle re travaille via des applications. Ses clichés sont régulièrement sélectionnés par le sites référent d’images mobiles, et, en avril 2015, PhotoMagazine choisit une de ses photos pour illustrer un article sur les tendances de la photo artistique mobile.En même temps, elle expose pour BMW et à Bruxelles avec le collectif BIAM.Depuis 2012 puis une dernière exposition en juin 2015 à la galerie Oberkampf à Paris.
La photographie mobile connait aujourd’hui un formidable essor et est reconnue comme un véritable art. Ce processus de création novateur se développe au travers de nombreux collectifs et réseaux sociaux à travers le monde, et de nouveaux talents numériques voient le jour. La photographie mobile, esthétique et économique, est en pleine émergence et laisse croire à une possible révolution numérique de l’art.
Le manifeste des arts mobiles : wwww.artsmobiles.org
INSTAGRAM : Clarisse_debout
FACEBOOK : Clarisse Debout Photographe
Christophe Bonicel est un passionné de photo depuis son plus jeune. Il aime l’esthétisme mais la photographie s’impose à lui, lorsqu’au détours d’une expo qu’il parcourt, il se rend compte que ses photos effectués au cours de ses voyages peuvent être vues…
Son sujet : la rue. Piéton, passant lui-même, il va, pendant presque 10 ans, inlassablement enregistrer, de manière spontanée, la complexité comme la banalité ou les bizarreries de la vie urbaine. Il conçoit la rue comme une énigme, un théâtre où tout est possible et sujet à faire image. Il photographie les hommes, les femmes, les groupes, les foules… Autant d’inconnus, autant d’anonymes. Comme le dit son « la rue, c’est ma métaphore centrale. Là, je découvre les moments théâtraux, aléatoires qui me passionne le plus et je réalise les images qui restent au cœur de ma vision.
Cependant, si je m’inscris dans le Sillage des Walker Evans, Vivian Maier René Burri, mon intention n’est pas la même. Le photojournalisme a ses limites mais je ne cherche pas à dénoncer une quelconque aliénation de l’individu. Ce qui m’intéresse , c’est l’image, seulement l’Image : mon propos, c’est « l’esthétique du surgissement photographique », c’est de savoir « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées »
Cette formule, énigmatique elle-même, résume son intention : non pas connaître les gens, rentrer dans leur intimité, chercher à composer quelque chose qui ait un sens, mais plutôt rester l’étranger, celui qui passe et qui voit, puis qui donne à voir. Ainsi C. Bonicel s’intéresse-t-il plus à la femme photographique qu’à la condition féminine.
Plusieurs publication on line sur L’instante Monocromatico visible dans Flipboard
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Flickr: Christophe Bonicel